“Son baryton a des lumières de ténor (...)  l’oreille étant saisie par l’animation des mots et la mobilité des notes (...) avec cette voix qui sonne « naturelle », les ornements des da capo ont l’air de procéder d’un pur instinct, guidé par l’affect du moment (...)  Croqué à pleines dents, le texte dégouline de saveurs (...)  des qualités de ferveur et de fantaisie peu communes.” 

(Diapason Magazine).